Aurélie Forestier
Le nouvelle venue à la guitare n’est pas une totale inconnue,
c’est quasiment la famille.
Depuis que j’ai réussi à la convaincre de nous rejoindre,
n’en pouvant plus de l’ambiance chaotique qui règne dans le groupe,
elle m’a envoyé plusieurs lettres et E-mails de démission…
Que j’ai fait mine de ne pas avoir reçus.
Jean-Luc Véran
Batteur d’origine incertaine mais certain d’être batteur
et choriste maintenant.
Capable de mettre des breaks chelous sans trop prévenir
lorsqu’il n’aime pas le chanteur…mais moi il m’aime, la plupart du temps.
Il joue magistralement sur la quasi-totalité des albums « Juin 67 » et « Les belles années »
Mon Chouchou c’est du bon… du très très bon.
Frédéric Colombani
A la basse et aux chœurs il a su imposer son style unique sur scène,
mais aussi dans la vie, avec sa phrase fétiche « Vivement qu’on mange »
Il était déjà présent en studio sur trois titres de « Juin 67 »
Il joue aussi dans « Les belles années » sur « A coup sûr » et « Savoir »
Sébastien “Sebio” James
Avec Sébio tout a commencé au conservatoire…
Aujourd’hui, l’histoire continue et se renforce sur scène
Et ce, pour notre plus grand bonheur.
Comment résumer le Sébio ?
Une montagne de générosité en concert comme dans la vie.
Sébastien Machado
Avec Seb, c’est là encore une longue histoire.
Je joue de la guitare sur ses albums et sur scène
depuis un bon paquet de temps.
Suite un Mercato rocambolesque et hors de prix,
Nous avons finalement réussi à effectuer le transfert de son championnat Blues-Soul-Funk au notre.
Depuis, il a intégré avec brio le
« Big band all star olympic club de la Brunelle ».
Manu Carré
Le plus mentonnais des ch’tis de France
a partagé un bout de route avec nous.
Il restera à jamais le premier plombier à avoir soufflé sur mes chansons.
Depuis, il est reparti se donner tout entier
à son excellent groupe Manu Carré Electric 5.
Aurélien Miguel
L’homme aux 200 guitares et 150 amplis,
venu du jazz faire un tour par chez nous en live et en studio sur « Condition sine qua non » de « Juin 67 ».
Cette fine lame niçoise de la six cordes se consacre désormais à ses deux excellents groupes : MCE5 et Zig Zag
Sébastien Bouland
Sébastien a remplacé Jean-Luc pour quelques concerts.
C’était tellement bien qu’il a été d’office promu et enrôlé dans la famille.
Si il n’est pas d’accord : c’est pareil !
Jean Vincent Lanzillotti
A Nice quand on pense trompette on pense à Jean Vincent.
Nous nous sommes connus dans le Big Band du conservatoire
il y a « quelques » années,
et j’avais depuis longtemps, envie qu’il joue sur mes chansons.
Nous avions même essayé sur « Condition sine qua non » c’est dire…
C’est chose faite sur « Les belles années » avec
« Chacun chez soi » et « Savoir »
Et au concert de sortie de l’album : un régal.
Virginie Behem et Olenka Airasca
Vir et Olenka c’est le duo vocal de choc de chez nous.
On est copains depuis bien longtemps et on a, de nombreuses fois, partagé la scène et le studio.
Mais ce coup-ci c’est sur mes chansons et ça c’est un vrai plaisir.
Elles ont défoncé mes micros sur « Savoir », « A coup sûr »
« Chacun chez soi » et « Politiquement correct ».
Cyril Galamini
Cyril a complété la section cuivre des « Les belles années »
sur « Chacun chez soi » et « Savoir »
Professionnalisme, talent, gentillesse… Juste parfait.
Christophe Gallizio
On a pratiquement commencé ensemble,
il avait seize ans et pas de voiture mais jouait déjà comme un dieu.
Il joue sur six titres du premier album,
rien à dire juste à écouter.
Alain Ruard
Véritable légende de la batterie dans le milieu niçois,
Alain joue sur cinq titres du premier album,
sur « L’ombre du vent » sur « Juin 67 »
et a fait partie du line-up de départ des premiers concerts ,
j’en suis très fier.
Nobo
Garçon étrange venu d’on ne sait où, totalement obsédé par le rythme.
Une légende japonaise dit qu’il n’aurait pas joué
une note pas « en place » depuis 1974.
Il nous a accompagné sur scène jusqu’en 2014
et la partie basse des « Mots me manquent »
sur « Juin 67 »
Eric Nicolino
Copain de lycée où il était « le mec qui joue bien »
j’ai eu la chance qu’il participe et me soutienne au début de l’aventure
: merci mon pote.
Tony Sgro
Le seul bassiste qui change de basse comme plus vite que son ombre,
on se demande pourquoi car il a toujours le son.
En tout cas il a accepté de jouer sur la version studio
du « Temps n’existe pas »
: la classe !
Jean-Jacques Christofari
Son talent n’a d’égal que sa gentillesse,
Jean-Jacques joue sur la version studio de « L’orage »
je ne voyais personne d’autre pour le faire.
Badou Mandiang
Badou à eu la gentillesse du venir chanter en studio sur
“Un chemin à l’envers” de “Juin 67”
De plus il s’est joint à nous lors du concert de sortie d’album,
quel souvenir…
Super moment, du talent à l’état pur.
